L’interview décalée de Théo ZINBERG (Joueur Séniors)

Interview décalée avec Théo ZINBERG. Notre joueur séniors a été nommé par Manon LHERMET pour l’interview décalée. Rencontre…

Théo, peux-tu nous présenter ton parcours de footballeur à l’ES Veauche et tes différents éducateurs que tu as rencontrés, avant quelques anecdotes ?
« J’ai tout d’abord commencé le foot à Veauche à l’âge de 5 ans. En effet, cela fait quelques années que je pratique cette passion dans ce club que j’admire particulièrement. Malheureusement, j’ai dû arrêter le foot en U17 à cause d’un problème à l’oreille interne qui a duré près de 4 ans. Après cette longue pause, j’ai pu rejoindre le monde senior et reprendre du plaisir à jouer. J’ai eu donc la chance de côtoyer de nombreux entraîneurs comme Johann Chambost, Didier Lornage, Crochut (Dominique Bouchut) ou encore Christophe Brignon, et j’en passe. J’évolue donc aujourd’hui en seniors 3 aux côtés d’Ilian (Bouagal) et Dalibor (Zeimoun). »

Avec quel joueur de foot professionnel aimerais-tu te trouver en tête à tête ?J
« Je pense que le joueur avec qui j’aimerais avoir un tête-à-tête est Lionel Messi. »

Cites-nous ton geste technique préféré.
« Je suis loin d’être un joueur très technique mais je dirais la feinte ou le crochet pour effacer au mieux un adversaire. »

Tes loisirs préférés en dehors du football ?
« Sortir avec mes amis ou voyager. »

Une phobie ?
« Ma plus grande phobie serait que mon problème à l’oreille interne revienne. »

Quel joueur ou joueuse a les pieds carrés à Veauche ?
« Matteo Biagini, plus talentueux avec les mains qu’avec les pieds. »

Le ou la plus chambr(e)ur(euse) du club ?
« Corentin Thivollet, mon coéquipier depuis longtemps. »

Le ou la plus stylé(e) ?
« Sans hésitation, mon ami Jules Soler. »

Celui ou celle qui parle tout le temps ?
« Yohan Mounier, et de loin. »

Le ou la plus mauvais(e) perdant(e) du vestiaire ?
« Le seul et l’unique Corentin Sabot. »

Le ou la plus technique ?
« Injouable, mon coéquipier Adrien La Marca. »

Le ou la plus intelligent(e) ?
« Toujours les bons mots au bon moment, Johan Lhermet. »

Un maillot que tu ne porteras jamais ?
« Facile, le Real Madrid. »

Un mot ou une phrase que ton coach répète tout le temps ?
« Bon les gars, match important, on n’a pas le droit de perdre aujourd’hui. »

Le pire terrain sur lequel tu as joué ?
« Celui de Saint Victor sur Loire, beaucoup trop petit. »

Ton meilleur et ton pire souvenir de footballeur ?
« Je n’ai pas vraiment un meilleur souvenir en particulier, mais je dirais l’ensemble de mes saisons passées à l’ESV, qui ont été, bien évidemment, incroyables tout en ayant ce côté compétitif et en gardant le côté familial que j’affectionne beaucoup. Les mauvais souvenirs resteront les blessures que j’ai pu avoir au cours de ces années. »

Tu as un surnom ?
« Ted ou Zinb. »

Qu’emmènes-tu toujours en déplacement ou au complexe Irénée Laurent avec ton équipe ?
« Toujours une petite barre de céréales dans la poche. »

La meilleure invention que tu utilises chaque jour ?
« La voiture est indispensable. »

Que n’aimes-tu pas dans le football ?
« La défaite est toujours difficile à encaisser. »

Dans quel club professionnel aimerais-tu jouer et pourquoi ?
« J’aurais aimé jouer au FC Barcelone, mon club favori depuis petit. »

Les jours de défaite, tu es comment ?
« Dans un premier temps, plutôt énervé et déçu, mais très vite j’essaie de me convaincre qu’on fera mieux le weekend d’après. »

 

Avec le recul, ça fait quoi de jouer à l’ESV ? Merci de nommer un joueur ou joueuse du club (hors U20/Séniors) pour la prochaine interview décalée ?
« Avec le recul, je suis très fier d’avoir eu la chance de jouer sous les couleurs jaune et noir et d’avoir commencé depuis jeune dans ce club. L’ESV a su tisser des liens entre les joueurs, les entraîneurs et les dirigeants qui dépassent ce côté football et sportif. Je pense que c’est pour cela que le club continue d’évoluer d’année en année et que tout le monde est fier de porter ce maillot.
Je nomme Louis Lascoux joueur U14 pour la prochaine interview « .
 

Propos recueillis par Yohan Dépalle